Dans un homme s'en est allé je regrettais l'inutile dernère vexation que le public madrilène avait réservée à Julio Aparicio, qui, confronté une nouvelle fois à ces propres terreurs, de rage de colère et de honte après une après-midi de cauchemar se coupait symboliquement la coleta.
Girouette désespérée, le même cinq mois plus tard annonce déjà son retour.
Honte ravalée et sans vergogne, il revient dans un circuit de second rang que l'on devine déjà sans grande probité.
Julio ne respecte même plus le code d'honneur de ce qu'il a été un jour.
Confirmation supplémentaire que la tauromachie n'est pas malade que de certains de ses toros mais bel et bien aussi de certains de ses toreros.
Que ce soit pour l'adrénaline, pour l'argent ou simplement pour exister ce retour n'inspire que tristesse voire pitié.
Finalement cette bronca madrilène (finalement pas la dernière) n'était peut-être pas volée!!
entre la bronca madrilène et cette annonce, il ne s'est illustré que par cela : http://puraficion.blogspot.fr/2012/08/apres-casas-aparicio-tout-est-permis.html
RépondreSupprimerJe suis presque certain qu'elle était justifiée: les madrilènes connaissaient trop bien le zigoto
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