En ces temps de foutoir footeux, ce clin d'oeil taurin fut comme un rayon de soleil.
¡Olé tu madre, David!
mardi 22 juin 2010
Comme un rayon de soleil.
Alors que les Bleus ont entassé leur linge sale dans l'avion retour pour lavage immédiat dès atterrissage et que, dans la tête à Monsieur Raymond, une vuvuzela insomniaque joue les prolongations, le geste très torero de l'attaquant espagnol David Villa, après avoir marqué le premier but contre le Honduras, n'a échappé à aucun aficionado. Un derechazo de la main que Basile Boli lui-même n'a pu s'empêcher d'accompagner d'un "Olé!" bien senti.
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