Après un passage convaincant et plein de promesses à Seville, le dos en compote, le jeune homme est passé sagement faire un séjour parmi les blouses blanches.
A peine revenu, il triomphe déjà comme à Sanlucar où il vient de grâcier un de ses adversaires.
Pour celui qui trop longtemps a été considéré comme le simple fils de son père 2010 pourrait être l'année de la naissance tauromachique.
Alluré, stylé il peut franchir le pas vers plus de profondeur et là....
C'est avec plaisir que même privé de JT j'irais à Barcelone le 18 juillet prochain car JMM est à l'affiche.
Les arènes du sud ouest l'ont boudé mais Béziers, Arles l'ont programmé.
Si vous passez par là, prenez un billet il m'est avis que vous le regretterez pas.
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Le Juli en remplacement de Tomas !
RépondreSupprimerJ'ai un excellent souvenir de ce garçon à Bayonne, qui commence à dater, corrida où nous étions ensemble d'ailleurs.
RépondreSupprimerJe l'avais découvert pour la première fois ce jour-là, il était au cartel avec Juan Bautista, et je l'avais trouvé très appliqué et très sincère.
C'est un torero que j'aime beaucoup mais que je n'ai pas assez vu, comme souvent..