Après avoir vu en direct sur l'ordinateur, la novillada madrilène des Moreno de Silva le 17 mai, il fallait que je vois cette élevage combattre. Et justement, Parentis en proposait un lot le dimanche 8 août 2010 car l'an passé un bon novillo était sorti lors de la concours 2009.
Trois penas sont présentent dans l'arène, déguisées, poubelles remplies de glaçons et ce qui va avec, un petit air de Pamplona.
Trois novilleros inconnus au bataillon : Nuno Casquinha, Juan Ortiz et Daniel Palencia.
Six gros novillos de Moreno de Silva, bien présentés, negro, entrepelado ou cardeno; un bragado. La présence en piste était moindre qu'à Las Ventas mais il y avait de quoi faire et les capes ont volaient.
Nuno ne s'en sort pas trop mal avec ces deux novillos, à la cape et des deux mains à la muleta. Il plante bien ses deux épées malgré un pinchazo à son deuxième ainsi qu'un fou rire dans le public. Un bon entraînement cet hiver et à l'année prochaine.
Juan est doué et très courageux, vuelta à son premier novillo après une entière verticale. A son deuxième novillo, début avec une larga, puis de belles séries des deux mains et en fin de faena des séries de naturelles aux plus proches de la fémorale, digne d'un certain José T. Une épée entière en deux temps, bizarre. Une oreille. Un jeune à voir et à revoir !
Daniel n'essaye pas de toréer son premier toro, après deux minutes à la muleta , il prend l'épée pour six essais, trois descabillos et un avis. Par contre, la musique se lance à son deuxième mais la stoppe façon Lescarret. Pas assez d'envie pour ce jeune, une remise en question est nécessaire.
Bonijol a été obligé d'intervenir deux fois en piste, un toro passait devant le cheval frôlant sa carotide pour poussé derrière, puis une chute de la cavalerie avec un acharnement du Moreno sur sa proie. Admirable courage de Bonijol en opposition à la fainéantise des cuadrillas...
Déçu par un public "torista frusté", qui aime voir les peones se faire attraper...
Après avoir vu en direct sur l'ordinateur, la novillada madrilène des Moreno de Silva le 17 mai, il fallait que je vois cette élevage combattre. Et justement, Parentis en proposait un lot le dimanche 8 août 2010 car l'an passé un bon novillo était sorti lors de la concours 2009.
Trois penas sont présentent dans l'arène, déguisées, poubelles remplies de glaçons et ce qui va avec, un petit air de Pamplona.
Trois novilleros inconnus au bataillon : Nuno Casquinha, Juan Ortiz et Daniel Palencia.
Six gros novillos de Moreno de Silva, bien présentés, negro, entrepelado ou cardeno; un bragado. La présence en piste était moindre qu'à Las Ventas mais il y avait de quoi faire et les capes ont volaient.
Nuno ne s'en sort pas trop mal avec ces deux novillos, à la cape et des deux mains à la muleta. Il plante bien ses deux épées malgré un pinchazo à son deuxième ainsi qu'un fou rire dans le public. Un bon entraînement cet hiver et à l'année prochaine.
Juan est doué et très courageux, vuelta à son premier novillo après une entière verticale. A son deuxième novillo, début avec une larga, puis de belles séries des deux mains et en fin de faena des séries de naturelles aux plus proches de la fémorale, digne d'un certain José T. Une épée entière en deux temps, bizarre. Une oreille. Un jeune à voir et à revoir !
Daniel n'essaye pas de toréer son premier toro, après deux minutes à la muleta , il prend l'épée pour six essais, trois descabillos et un avis. Par contre, la musique se lance à son deuxième mais la stoppe façon Lescarret. Pas assez d'envie pour ce jeune, une remise en question est nécessaire.
Bonijol a été obligé d'intervenir deux fois en piste, un toro passait devant le cheval frôlant sa carotide pour poussé derrière, puis une chute de la cavalerie avec un acharnement du Moreno sur sa proie. Admirable courage de Bonijol en opposition à la fainéantise des cuadrillas...
Déçu par un public "torista frusté", qui aime voir les peones se faire attraper...
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