dimanche 18 décembre 2011

23

En 2012 Nunez del Cuvillo fournirait 23 corridas de toros: Seville, Valence, Bilbao peut-être Madrid mais aussi Don Benito, Almendralejo.La France n'échappera à une telle épidémie:Dax , Mont de Marsan, Nîmes mais ausi Istres, Palavas.
Comment peut-on encore penser qu'un éleveur peut raisonnablement fournir un tel contingent sans se livrer à des expériences d'apprenti sorcier pour industrialiser sa production (les paillettes congelées aujourd'hui, le clonage demain peut-être).
Rentabilisation à outrance, position dominante sur le marché avec les encouragements émus  du G10 des porteurs de monteras, pour une standardisation encore plus importante du "matériel" taurin, certains d'entre eux assumant complètement être bien plus toreros que matadors.
L'enjeu de la diversité est majeur car il est aussi celui de la survivance des encastes, de l'indépendance vis à vis des monopoles, et des différences qui offriront les choix et l'originalité.
Vingt trois, chiffre symbole d'un horizon qui s'assombrit un peu plus encore.

2 commentaires:

  1. Certe, ils fournissent beaucoup de toros, mais il triomphe presque à chaque fois. A ne surout pas boycoter !

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