Pendant que le monde du toro subit les attaques des opposants,la crise de l'aficion,l'autodafé organisé à Quito adoubé par Castella lui-même, le Cercle Taurin Toulousain roupille du sommeil du juste.
Silence assourdissant!!!!
Il ne tourne pas beaucoup ce cercle même pas en rond, dommage car s'il y a bien un moment d'agir, de réagir, d'unir et de se réunir c'est en cette période trouble et sûrement cruciale pour l'avenir de la tauromachie!
Si ce n'est l'AG du 06 mai la dernière soirée organisée date du 28 janvier.Non décidément Toulouse n'est plus taurine, et le Soleil d'Or est couché depuis bien trop longtemps pour réchauffer semble t'il encore les âmes de bonne volonté.Comme il n'est jamais trop tard pour bien faire, il est encore temps de réveiller les consciences mais attention après l'heure, c'est plus l'heure (comme ils disent en ce moment du côté de la SNCF)!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il existe un site du cercle taurin toulousain?
RépondreSupprimerC'est vrai que l'hiver est long..
Cyril (31750)
pour cyril ci-joint le lien du cercle taurin de toulouse aussi dynamique et vivvant que le cercle lui-même
RépondreSupprimerhttp://www.torofstf.com/ctt/ctt.htm
en haute-garonne le club taurin de Rieumes semble être une bonne alternative
http://clubtaurin.rieumes.free.fr/
et sur Avignon......j'en parle même pas
RépondreSupprimerFredrique Therond (sce facebook)
il y a quand même un type, sur cette île, qui s'acharne, cher philippe, à écrire des livres sur les toreros français : les "lettres à bautista" (la table ronde, 2008) et "miroirs de julien l." (le diable vauvert, 2012). la solitude, c'est fait pour écrire.
RépondreSupprimerYves Charnet(sce facebook)
@yves, bien entendu vous fiates partie de ces âmes de bonne volonté auxqulles je fais référence.Il est quand même légitime de se poser des questions sur un cercle taurin , son utilité, sa fonction quand en période de tempête, il reste calfeutré et inactif PS/j'ai dans ma bibliothèque taurine les lettres a Bautista, et j'aurais bientôt miroirs de Julien L
RépondreSupprimeril va falloir s'habituer, cher philippe, à ce que l'aficion soit, à toulouse comme ailleurs, une (forme de la) solitude. bien à vous.
RépondreSupprimerYves Charnet(sce facebook)
Je lisais un truc tout à l'heure ça m'a fait sourire. En 1957, avec un total de 7 courses (corridas et novilladas confondues), Toulouse était la ville taurine de France la plus active cette année là, devant Nîmes, Bayonne, Bordeaux et Marseille.
RépondreSupprimerFlorent Moreau(sce facebook)